Journal of Sustainability Research (Journal en accès libre de Hapres)

Numéro special : « Sustainable Architecture and Urban Design: Alternative Theories for Qualitative Comparisons »

Since the turn of the century, theories and practices of sustainable architecture and urban design have been characterized by increasingly normative grids, such as standards, checklists, certifications, etc. As imperative as these normative grids are for ensuring a certain level of sustainability in the built environment, they may inadvertently avert the virtues of creative design practices to mere risk management exercises.

This is in clear contrast to the pioneering environmental design of the 1960s, when the search for holistic approaches gave rise to a spectrum of methodological experimentations, both in the field of design processes (design methodologies) and environmental studies. The formation of the Environmental Design Research Association (EDRA) in 1968 was an outcome of this search for qualitative as well as quantitative methodologies in the design disciplines. In the 1970s, environmentalism started to shift towards an ecological ideology soon dominated by technical solutions and the search for eco-efficiency. Systematically developed throughout the 1980s and 1990s, this technological emphasis for measurable efficiency started to reveal its limitations. Facing a problematic integration of cultural and social dimensions, this dominant approach founded on the management of eco-performances revealed a counterproductive hyper-technological paradigm for the design disciplines and their theoretical frameworks (Vesely, 2004; Perez-Gomez, 1983).

Numerous scholars now underline that these missing inter-subjective dimensions may be compromising the very idea of a holistic environmentalism in various realms of knowledge and action (Kagan, 2010; McLennan, 2004). Such is the case in the design disciplines, where a series of ethical issues are being identified at varying scales (Fisher, 2008). In the past twenty years, theoretical frameworks have induced or supported the normative rather than systemic methods to sustainable design. The more comparative and qualitative evaluative approaches that have been established in professional practice—design committees, collective judgment, competition juries—are still being overlooked by scholars as the foundation of evaluation and judgment. Furthermore, even if authors have sought to reveal critical theories for these dominant discourses, occurrences have been rare.

We believe it is now time to step back and rethink these dominant paradigms in order to provide new theoretical frameworks and methodologies for sustainable architecture and urban design. This special issue calls for the renewal of theories and hypotheses opening on a broadened evaluative and comparative framework. We welcome papers in the following three themes:

(A).(B).(C).

Professor Carmela Cucuzzella
Professor Jean-Pierre Chupin

Guest Editors

sustainable architecture  sustainable urban design  comparative analysis qualitative-quantitative divide  evaluation judgment

Submission Deadline: 30 April 2020

La ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Langue française, Mme Nathalie Roy, et la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, Mme Andrée Laforest, annoncent le début des travaux visant à doter le Québec d’une Stratégie québécoise de l’architecture. À cet effet, le ministère de la Culture et des Communications (MCC) a invité l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) et un comité d’experts à collaborer à l’élaboration de cette première stratégie. La Stratégie québécoise de l’architecture placera les citoyens au cœur des réflexions et visera l’adoption de pratiques exemplaires dans les projets menés par l’État et la mise en place de mesures incitatives dans les projets qu’il subventionne. Elle répondra ainsi aux besoins des Québécoises et des Québécois par une contribution de l’architecture à l’identité québécoise, en faisant de la culture un élément fondamental de la qualité de nos cadres de vie et de la vitalité de nos milieux. Cette stratégie assurera une plus grande qualité et durabilité des projets, en cohérence avec les principes de développement durable. De plus, elle contribuera au sentiment d’appartenance des populations, à l’attractivité internationale du territoire et aux perspectives de croissance économique et de promotion touristique.

Le processus participatif instauré permettra d’impliquer le milieu comme partie prenante et de bénéficier des réflexions issues de la démarche que l’OAQ avait préalablement réalisée et menant au dépôt du Livre blanc pour une politique québécoise de l’architecture. Par ailleurs, le MCC et l’OAQ ont mis sur pied un comité consultatif impliquant toutes les personnes interpellées par cette démarche. Ces experts et expertes, organismes et partenaires seront consultés au cours des prochains mois (voir la liste en annexe). Le milieu municipal est invité à participer à ce projet. Le gouvernement souhaite l’entendre pour son expertise unique afin d’alimenter la Stratégie québécoise de l’architecture. Les villes de Québec et de Montréal seront notamment interpellées de façon particulière en vertu de leur statut respectif de capitale et de métropole.

Rappelons que l’élaboration de la Stratégie québécoise de l’architecture correspond à la mesure 19 du Plan d’action gouvernemental en culture 2018-2023. (Extrait du communiqué de presse).

Lire l’intégralité du communiqué de presse du Ministère de la Culture et des Communications.

28 mars 2019 : Lucie Palombi a reçu le prix scientifique, le prix du public et le prix du meilleur résumé du Colloque Perspectives 360 organisé par l’Association des Cycles Supérieurs de la Faculté de l’Aménagement pour la présentation de son projet doctoral en 6 minutes. Les fonds lui ont été remis par l’Observatoire Ivanhoé Cambridge.

25 octobre 2019 : À l’occasion de la cérémonie de lancement du Festival de l’Institut Royal d’Architecture du Canada, Lucie Palombi s’est vu remettre une bourse de 5000$ pour l’écriture d’un essai de 1000 mots.

Son texte prend la forme d’une lettre à Le Corbusier. Elle lui écrit que les descriptions de son journal de voyage l’ont inspirée, tout comme les descriptions de l’Amérique du Nord au 19e siècle, de Paris au 20e siècle et des jardins de Versailles de divers auteurs qu’elle a lus au fil des ans. Ces lectures l’ont amenée à se demander « Peut-on sculpter le monde avec des mots et du papier ? » Les voyages décrits en des lieux éloignés par la lecture lui ont permis de comprendre que les « histoires, réelles ou fantasmées, donnent du sens aux lieux les plus muets ». Commentaire du jury : Le texte est intelligent et original dans sa forme et dans son contenu, en plus d’être magnifiquement écrit. Il révèle un nouvel esprit analytique, apte à contribuer à la discipline en pensée et en acte.